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Des Articles - mais pas publiés

 

Fin de l'article sur mon Musée idéal - la partie Lanceurs

 

Le musée spatial idéal 

Projet d'article - 2008 - 2011 

 

Il est temps maintenant d’aller découvrir les lanceurs en revenant vers l’entrée. En avant goût, nous longeons la terrasse du restaurant où est dressée fièrement une navette spatiale américaine avant d’atteindre notre point de départ où sont présentés les premiers moyens d’accès à l’espace réservés aux nouveaux touristes spatiaux, SpaceShipOne et Two. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des navettes aux missiles et des missiles au rêve

Quittant le parc des vaisseaux, une allée nous mène tout droit vers les deux concepts rivaux de navette spatiale, l’américaine et la soviétique.

 

C’est après être passé sous le réservoir central de l’américaine et de ses

deux boosters que l’on débouche derrière les deux monstres. D’ici, on

discerne bien la différence de concept des deux véhicules. La navette

américaine décolle à l’aide de ses trois moteurs et puise ses ergols dans

le gros réservoir sur lequel elle est fixée, aidé de ses deux boosters qui

l’arrachent du sol.

 

La soviétique Bourane, est une charge utile accrochée à un énorme

lanceur Energia composé d’une fusée centrale à 4 moteurs, flanquée

de 4 fusées latérales équipés de 4 moteurs chacun.

Les tailles générales des 2 véhicules restant assez proches.

 

 

 

 

 

 

Space Shuttle et Bourane

 

Retour vers le parc des lanceurs où nous passons sous la Saturn IB qui fut utilisée x fois pour envoyer des hommes.

En face de chaque lanceur est présenté le vaisseau qu’il plaçait en orbite – ici le CSM d’Apollo. En remontant l’allée et donc l’histoire, viennent la Titan dédiée à Gemini, l’Atlas et la Redstone lanceurs de Mercury. 

 

 

Passons aux soviétiques devenus Russes avec la Semiorka qui lança le premier vaisseau habité, Vostok. La même Sémiorka évolue et va occuper et occupe encore le terrain avec les versions Voskhod et Soyouz.

Un Soyouz de survol lunaire Zond est présenté face à son lanceur UR 500, plus connue sous le nom de Proton. Une autre Proton est installée à coté en configuration de lancement du module Kristall vers Mir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lanceurs américains                                                                Lanceurs soviétiques devenus russes.

 

 

 

Un dernier petit espace nous sépare d’un vaisseau chinois Shenzhou exposé prés de son lanceur Longue-Marche CZ-2F. 

Pour finir ce long parcours, nous arrivons enfin devant les 2 joyaux du Parc, toutes dédiées au débarquement de l’homme sur la Lune, avec l’une aussi célèbre que l’autre fut secrète pendant plus de 2 décennies. La Saturn V et la N1 du programme L3.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lanceur CZ-2F et Shenzhou  Lanceurs lunaires

 

 

 

Mince, il faudra revenir !

Notre visite s’achève, nous devons quitter ce Parc à regret et reprendre la route. En passant à nouveau devant le module lunaire Altair, derrière le rond point, nous découvrons les ateliers où sont construites toutes ces maquettes taille réelle de ces engins spatiaux. Une nouvelle présentation se prépare car le gros module tracté sur la remorque ressemblerait bien à la future station Chinoise.

Mince, il faudra revenir !

Serge Gracieux - 2008 

 

 

LEGENDE POSTER

Mise à l’échelle de l’ensemble des vaisseaux spatiaux dédiés aux vols habités depuis le 12 avril 1961, de Vostok 1 à la date de Shenzhou 7. Inclus les 2 vols suborbitaux de X15 au delà des 100 km d’altitude, de SpaceShipOne et Two. Exception pour les programmes de survol et débarquements lunaires soviétiques L1 et L3, Spiral, Bor, Klipper, les programmes américains X 20, 24 et européens Hermès. Mise à la même échelle des lanceurs dédiés aux vols habités. Exceptions pour les programmes lunaires soviétiques L1 et L3.

Tous droits réservés : Tezio Corteze / Serge Gracieux – 2008.

 

 

 

 

 

 

 

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