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Samedi 15 septembre 2012                                    Musée 2 et ville

 

Un peu de repos pour l’écriture du texte, car la visite du matin concerne le Musée de la cosmonautique de Baïkonour ville, celui que l'on peut visiter, disons plus facilement.

L'autre, le Musée Gagarine est tellement prés des pas de tir qu'il faut vraiment avoir de bonnes raisons ou quelque chose à faire dans le coin pour pouvoir le visiter.

Très beau musée, à l'ancienne, avec bien évidement de belles pièces, depuis l'histoire du régiment qui a construit Baïkonour – de la guerre patriotique à sa dissolution. Bien sur, les débuts de la cosmonautique, les grands constructeurs et les lanceurs, sans tabou.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est Victor qui une fois de plus, se met à notre service pour traduire en temps réel, l'ensemble des explicitons de la personne qui nous fait visiter avec passion. Au bout de quelques minutes, elle comprend que notre hôte connait la majorité des constructeurs compatibles avec son âge et parfois, Victor lui explique tel ou tel détail, que bien sur elle ne savait pas. Un régal.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il a fallu acquitter quelques roubles pour pouvoir faire des photos et c'est Vincent qui s'en charge pour nous deux. Le prix pour les photos, 200 roubles je crois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pas de possibilité de carte bleue pour l'achat du livre, on repassera.

 

Repas. Après deux tentatives infructueuses avec ma carte bleue demandée spécifiquement (j’ai changé de banque depuis !), c'est Vincent qui retire avec la sienne les 2000 roubles (50€) ;écessaires. L'après midi, prise de vélos pour repartir au musée ou nous prenons le livre sur Baïkonour et des calendriers 2013 pour moi ou a offrir.

 

Nous terminons le tour des monuments de la ville avant de faire un passage au marché Kazakh. C'est sur, ce n'est pas là que je ramènerais des souvenirs. Par contre, ils ne doivent pas voir souvent des ''touristes'' et le contact, malgré la barrière très haute de la langue, se fait quand même et c'est très sympa.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Retour à l'hôtel en vélo et repas à 20h.

C'est déjà plus que des habitudes que nous avons, on se sent vraiment comme chez nous, une sorte de pension de famille d’une vielle ville balnéaire des années 60.

Demain, quartier libre mais à 8h, rdv à l'hôtel pour petit déjeuner car à 8h30 nous allons avec Victor à la messe orthodoxe, là même où exerce le prêtre qui a bénit le lanceur de MetOp il y a deux jours. Quitte à être ici, autant faire la totale.

 

 

 

A de rares exceptions, les images sont disponibles en HD en cliquant sur les vignettes. (c) Meens/Gracieux.

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